L'amour au temps du choléra,
Gabriel Garcia Marquez
Pour qui a lu le chef d'œuvre Cent ans de solitude, L'Amour au temps du choléra peut sembler un poil moins réussi. Dans une petite ville des Caraïbes, à la fin du XIXe siècle, Florentino Ariza, un jeune télégraphiste tombe éperdument amoureux de Fermina Daza, encore écolière. Ils s'échangent des billets doux jusqu'à ce que le père de la jeune fille découvre cette romance naissante et l'éloigne de la ville. A son retour, Fermina Daza épouse un jeune homme promis à un bel avenir, le Docteur Urbino. Florentino Ariza patiente jusqu'à la mort de son rival, soit quelques 50 années, pour reconquérir le coeur de sa belle. Un amour un peu désuet, comme il n'en existe que dans les livres. Gabriel Garcia Marquez lève néanmoins un tabou : l'amour et la sexualité à un âge où on croit ne plus pouvoir se le permettre. Personnellement, j'ai quelque peu décroché mon attention au fil des pages. Autant on est dedans quand sont évoqués les derniers jours du mari au début du roman et l'histoire d'amour entre les deux vieillards à la fin, autant on décroche sur certains passages dédiés aux progrès de la télégraphie ou du transport maritime. Car Gabriel Garcia Marquez n'est jamais aussi bon que quand il dépeint les sentiments et les aléas de la vie.
Gabriel Garcia Marquez
Pour qui a lu le chef d'œuvre Cent ans de solitude, L'Amour au temps du choléra peut sembler un poil moins réussi. Dans une petite ville des Caraïbes, à la fin du XIXe siècle, Florentino Ariza, un jeune télégraphiste tombe éperdument amoureux de Fermina Daza, encore écolière. Ils s'échangent des billets doux jusqu'à ce que le père de la jeune fille découvre cette romance naissante et l'éloigne de la ville. A son retour, Fermina Daza épouse un jeune homme promis à un bel avenir, le Docteur Urbino. Florentino Ariza patiente jusqu'à la mort de son rival, soit quelques 50 années, pour reconquérir le coeur de sa belle. Un amour un peu désuet, comme il n'en existe que dans les livres. Gabriel Garcia Marquez lève néanmoins un tabou : l'amour et la sexualité à un âge où on croit ne plus pouvoir se le permettre. Personnellement, j'ai quelque peu décroché mon attention au fil des pages. Autant on est dedans quand sont évoqués les derniers jours du mari au début du roman et l'histoire d'amour entre les deux vieillards à la fin, autant on décroche sur certains passages dédiés aux progrès de la télégraphie ou du transport maritime. Car Gabriel Garcia Marquez n'est jamais aussi bon que quand il dépeint les sentiments et les aléas de la vie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire