Le théâtre des perceptions,
Angela Carter
Ca ressemble à la vie de bohème dans les années 30, c’est en fait la vie des hippies dans les années 60. Mais Joseph, qui lave les morts dans un hôpital, ne sait pas à quoi ça sert de vivre ? Il tente alors de se suicider. Ses projets sont contrecarrés par l’arrivée d’une nouvelle voisine qui le sauve in-extremis : Anne, la morne Anne, boiteuse et malheureuse. Pour remonter le moral du suicidaire, il y a Viv, le copain indéfectible qui vit sur ses indemnités de chômage. Il y a aussi la mère de Viv, prostituée de luxe qui fait tant d’effet au petit Joseph. Autant de personnages qui forment un théâtre de l’absurde. C’est drôle et dérisoire.
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