Le drôle de Noël de Scrooge,
Robert Zemeckis
Ce film d’animation a beau reprendre un conte de Noël de Charles Dickens, il n’est pas à mettre devant n’importe quelle paire d’yeux, et surtout pas ceux des enfants en bas âge ! Car il pourrait bien les traumatiser, à commencer par le vieux Scrooge qui porte la vilenie sur son visage. Il est d’un effrayant réalisme, grâce à la motion capture, technique qui consiste à capter les mouvements d’un acteur et de les renvoyer vers un univers virtuel. C’est Jim Carey, l’as de la grimace, qui a prêté sa gestuelle à une dizaine de personnages du film. L’histoire est connue : Scrooge est riche comme Crésus et avare comme pas deux. Autant dire qu’il déteste la période de Noël, période où les miséreux font appel à sa bonté et à sa générosité, deux qualité dont il est dépourvu. La veille de Noël, des fantômes viennent le hanter et lui font (re)découvrir son passé, son présent et son avenir, pour lui donner une leçon de vie. Grâce à la 3D –enfin un film qui justifie qu’on paye 3 euros de plus pour des effets spéciaux- on survole à cent à l’heure la ville, on passe entre les flocons de neige, bref on est vraiment dedans. Les images sont superbes, l’intrigue est intéressante, de quoi passer un bon moment de cinéma.
Robert Zemeckis
Ce film d’animation a beau reprendre un conte de Noël de Charles Dickens, il n’est pas à mettre devant n’importe quelle paire d’yeux, et surtout pas ceux des enfants en bas âge ! Car il pourrait bien les traumatiser, à commencer par le vieux Scrooge qui porte la vilenie sur son visage. Il est d’un effrayant réalisme, grâce à la motion capture, technique qui consiste à capter les mouvements d’un acteur et de les renvoyer vers un univers virtuel. C’est Jim Carey, l’as de la grimace, qui a prêté sa gestuelle à une dizaine de personnages du film. L’histoire est connue : Scrooge est riche comme Crésus et avare comme pas deux. Autant dire qu’il déteste la période de Noël, période où les miséreux font appel à sa bonté et à sa générosité, deux qualité dont il est dépourvu. La veille de Noël, des fantômes viennent le hanter et lui font (re)découvrir son passé, son présent et son avenir, pour lui donner une leçon de vie. Grâce à la 3D –enfin un film qui justifie qu’on paye 3 euros de plus pour des effets spéciaux- on survole à cent à l’heure la ville, on passe entre les flocons de neige, bref on est vraiment dedans. Les images sont superbes, l’intrigue est intéressante, de quoi passer un bon moment de cinéma.
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